L'État oublie les chômeurs, ces infortunés ne reçoivent pas d'aide.
Les mesures de restrictions sanitaires précédentes n’ont pas préservé les chômeurs.
D'autres catégories de personnes ont reçu des subventions non-remboursables, sans parler des agriculteurs ; des familles pauvres ; les agents déflatés d'entreprises privés, même des travailleurs. Et quoi pour les chômeurs ?
Il y avait le « Tosika miarina » pendant le second confinement, et le chômeur, qui je suis et mon foyer ne faisaient pas partie des bénéficiaires, moi qui ai besoin de se nourrir et de s’habiller, sans oublier mes devoirs.
Sans oublier qu’on avait des parents fragiles, et sans ressources, dans notre foyer.
Il y avait aussi le «Tosika fameno » pour les victimes des cyclones et des inondations, et on n’a touché rien de cette aide.
On habite dans le bas-quartier d’Anosibe Ambohibarikely, l'eau est entrée dans notre habitation, et le ciment de la maison est endommagé.
On n’est pas vu, au bout des yeux même.
L'État oublie les chômeurs, ces infortunés ne reçoivent pas d'aide.
Les mesures de restrictions sanitaires précédentes n’ont pas préservé les chômeurs.
D'autres catégories de personnes ont reçu des subventions non-remboursables, sans parler des agriculteurs ; des familles pauvres ; les agents déflatés d'entreprises privés, même des travailleurs. Et quoi pour les chômeurs ?
Il y avait le « Tosika miarina » pendant le second confinement, et le chômeur, qui je suis et mon foyer ne faisaient pas partie des bénéficiaires, moi qui ai besoin de se nourrir et de s’habiller, sans oublier mes devoirs.
Sans oublier qu’on avait des parents fragiles, et sans ressources, dans notre foyer.
Il y avait aussi le «Tosika fameno » pour les victimes des cyclones et des inondations, et on n’a touché rien de cette aide.
On habite dans le bas-quartier d’Anosibe Ambohibarikely, l'eau est entrée dans notre habitation, et le ciment de la maison est endommagé.
On n’est pas vu, au bout des yeux même.