Alors même que les nations les plus riches commencent à retrouver le chemin de la prospérité et un semblant de normalité, la pandémie continue de faire des ravages dans les pays les plus pauvres…
Dans le cadre de l'IDA-18, nous avons plus que doublé notre soutien en faveur des pays fragiles et touchés par un conflit.
La Banque mondiale reste mobilisée pour garantir la traduction en actions concrètes, sur le terrain, des engagements pris par la communauté internationale.
Nous entrons à présent dans la phase finale de la course, celle où nos actions collectives seront décisives pour passer ou non la ligne d'arrivée d’ici à 2030.
Les progrès sur le front de la lutte contre la pauvreté sont indéniables, mais ils n’ont pas été homogènes d’un pays à l’autre et tendent actuellement à marquer le pas.
Un secteur privé dynamique est un puissant moteur de création d’emplois et l’un des fondements d’une croissance économique durable, un vecteur d’innovation et de réduction de la pauvreté.
L’un des plus gros problèmes est de trouver des moyens financiers pour soutenir les efforts héroïques du personnel de santé dépêché sur le front par le gouvernement, l’ONU, l’OMS et d’autres…
À la Banque mondiale, nous savons qu’aucun pays, aucune communauté ni aucune économie ne peut exprimer tout son potentiel et relever les défis du XXIe siècle sans garantir la participation pleine…
16 Janvier 2019 - Beni, République Démocratique du Congo. Vincent Tremeau / World Bank 2019 Depuis plusieurs années, Ebola frappe de manière disproportionnée notre continent, et plus…
Le nombre d’infrastructures par habitant est très insuffisant dans beaucoup d'économies en développement. Par exemple, la capacité de production d’électricité par personne ne représente dans…