Rachel Kyte

Rachel Kyte

Directrice générale du programme SE4All

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Rachel Kyte est la directrice générale du programme « Énergie durable pour tous » (ou « SE4All » pour Sustainable Energy for All) et la représentante spéciale du secrétaire général des Nations Unies dans ce domaine.

Ambassadrice de premier plan du développement durable, Rachel Kyte promeut l’accès à une énergie abordable, sûre et durable, considérant cet enjeu comme la solution pour lutter à la fois contre la pauvreté et le changement climatique. Elle dirige les travaux menés dans le cadre du programme SE4All en vue de mobiliser l’action en faveur des objectifs visés à l’horizon 2030 : assurer un accès universel aux services énergétiques modernes ; multiplier par deux l'amélioration de la maîtrise énergétique ; et doubler la part de l'énergie d'origine renouvelable dans le bouquet énergétique mondial. En tant que représentante spéciale du secrétaire général des Nations Unies, elle est le point focal pour les activités entreprises en direction de l’objectif mondial d’énergie durable adopté par la communauté internationale.

Rachel Kyte occupait jusqu’en décembre 2015 le poste de vice-présidente et envoyée spéciale du Groupe de la Banque mondiale pour le changement climatique. Elle a, à ce titre, dirigé les efforts déployés par la Banque en faveur de l’adoption d’un accord ambitieux lors de la 21e Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP 21). Elle était auparavant vice-présidente de la Banque mondiale pour le développement durable et, précédemment, vice-présidente chargée du service-conseil aux entreprises au sein de la Société financière internationale (IFC).

Récompensée à de nombreuses reprises pour son action en faveur de la promotion des femmes, de la lutte contre le changement climatique et du développement durable, Rachel Kyte est professeur de développement durable à la Fletcher School of Law and Diplomacy. Elle est titulaire d’un master en relations internationales de l’université Tufts et d’une licence en histoire et sciences politiques de l’université de Londres.