Cette année, j’ai eu le privilège d’effectuer un stage d’été au siège du Groupe de la Banque mondiale à Washington, pour mener des recherches sur les volumes d’investissement que les pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord (MENA) consacrent au développement de la petite enfance. Ce stage m’a permis de me familiariser avec des enjeux de développement dont je n’aurais pas soupçonné l’existence autrement mais aussi d’explorer les pistes d’améliorations possibles.
J’ai commencé mon stage en travaillant sur un programme baptisé « l’Éducation au service de la compétitivité », aux côtés de Safaa El-Kogali, chef de service au pôle mondial d’expertise en Éducation, et de son équipe. Cette initiative, qui vise à mettre sur pied des stratégies pour réformer l’éducation et la formation, cible avant tout la région MENA. J’ai employé mes journées à la préparation d’un atelier qui se déroulera au début de l’année 2017 et qui sera consacré aux progrès effectués dans le domaine du développement de la petite enfance au sein de région MENA et aux solutions possibles pour en accélérer le processus.
J’ai dû me frotter à de nombreuses tâches et me suis retrouvée confrontée à des difficultés que je n’avais jusqu’ici jamais connues dans mon expérience professionnelle, comme le casse-tête de devoir contacter des représentants d’organisations sur des fuseaux horaires différents ! Grâce à l’aide précieuse de Google Traduction, j’ai écumé les sites web des ministères à la recherche de leur programme d’action sur le développement de la petite enfance et recherché les personnes qui consacrent leur carrière à cette question.
Nous avions pour espoir d’entrer en contact avec les représentants de gouvernements et les membres d’organisations susceptibles d’être des acteurs du changement dans leur pays respectif et dans la région MENA dans son ensemble. Car, en améliorant le développement de la petite enfance, les pays pourront progresser sur la voie des 17 Objectifs de développement durable que les dirigeants mondiaux, sous l’égide des Nations Unies, se engagés à atteindre à l’horizon 2030 et qui touchent notamment aux défis de la pauvreté, des inégalités, de l’injustice et du changement climatique.
En travaillant au sein d’une équipe aussi formidable que bienveillante, j’ai pris conscience du déficit dont souffre globalement la région MENA en matière de développement de la petite enfance et de ses nombreuses lacunes concernant l’éducation préprimaire.
En me penchant sur les aspects sanitaires et socioculturels liés au développement de la petite enfance, j’ai compris que cette question comportait de multiples facettes. Je pense, par exemple, à l’iodation du sel et l’accompagnement des parents qui sont tous deux des facteurs importants pour le développement d’un enfant. En étudiant divers indicateurs, j’ai pu me rendre compte de la situation de la région MENA par rapport à d’autres régions du monde et mieux appréhender les éléments indispensables de toute politique et toute réforme tournée vers le bien-être des générations futures.
L’investissement public dans le développement de la petite enfance dans la région MENA est l’un des plus faibles au monde. On sait pourtant que les premières années de la vie sont un facteur clé dans le développement d’un enfant. Si je dois retenir un seul point de mes recherches et de ma nouvelle expérience, c’est que l’absence d’informations sur le développement de la petite enfance porte préjudice à la région. Il est donc essentiel que le Groupe de la Banque mondiale diffuse ce savoir dans les pays de la région MENA, afin de faire prospérer leur économie et les générations futures.
J’ai commencé mon stage en travaillant sur un programme baptisé « l’Éducation au service de la compétitivité », aux côtés de Safaa El-Kogali, chef de service au pôle mondial d’expertise en Éducation, et de son équipe. Cette initiative, qui vise à mettre sur pied des stratégies pour réformer l’éducation et la formation, cible avant tout la région MENA. J’ai employé mes journées à la préparation d’un atelier qui se déroulera au début de l’année 2017 et qui sera consacré aux progrès effectués dans le domaine du développement de la petite enfance au sein de région MENA et aux solutions possibles pour en accélérer le processus.
J’ai dû me frotter à de nombreuses tâches et me suis retrouvée confrontée à des difficultés que je n’avais jusqu’ici jamais connues dans mon expérience professionnelle, comme le casse-tête de devoir contacter des représentants d’organisations sur des fuseaux horaires différents ! Grâce à l’aide précieuse de Google Traduction, j’ai écumé les sites web des ministères à la recherche de leur programme d’action sur le développement de la petite enfance et recherché les personnes qui consacrent leur carrière à cette question.
Nous avions pour espoir d’entrer en contact avec les représentants de gouvernements et les membres d’organisations susceptibles d’être des acteurs du changement dans leur pays respectif et dans la région MENA dans son ensemble. Car, en améliorant le développement de la petite enfance, les pays pourront progresser sur la voie des 17 Objectifs de développement durable que les dirigeants mondiaux, sous l’égide des Nations Unies, se engagés à atteindre à l’horizon 2030 et qui touchent notamment aux défis de la pauvreté, des inégalités, de l’injustice et du changement climatique.
En travaillant au sein d’une équipe aussi formidable que bienveillante, j’ai pris conscience du déficit dont souffre globalement la région MENA en matière de développement de la petite enfance et de ses nombreuses lacunes concernant l’éducation préprimaire.
En me penchant sur les aspects sanitaires et socioculturels liés au développement de la petite enfance, j’ai compris que cette question comportait de multiples facettes. Je pense, par exemple, à l’iodation du sel et l’accompagnement des parents qui sont tous deux des facteurs importants pour le développement d’un enfant. En étudiant divers indicateurs, j’ai pu me rendre compte de la situation de la région MENA par rapport à d’autres régions du monde et mieux appréhender les éléments indispensables de toute politique et toute réforme tournée vers le bien-être des générations futures.
L’investissement public dans le développement de la petite enfance dans la région MENA est l’un des plus faibles au monde. On sait pourtant que les premières années de la vie sont un facteur clé dans le développement d’un enfant. Si je dois retenir un seul point de mes recherches et de ma nouvelle expérience, c’est que l’absence d’informations sur le développement de la petite enfance porte préjudice à la région. Il est donc essentiel que le Groupe de la Banque mondiale diffuse ce savoir dans les pays de la région MENA, afin de faire prospérer leur économie et les générations futures.
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