En décembre 2010, les appels au changement marquaient l'éclosion du Printemps arabe. Ce changement s'est concrétisé en Tunisie, en Égypte et en Libye et, dans tous ces pays, le rétablissement de la justice est désormais une priorité. Dans l'esprit de nombreux citoyens, il s'agit notamment de recouvrer les fonds détournés par les responsables politiques, pendant des décennies de corruption, au plus haut niveau de l'État. L'actualité récente montre que, dans toute la région, l'opinion s'impatiente de la lenteur des progrès sur ce front.
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