Environ un quart des réfugiés vivent dans des camps. Ils se concentrent principalement en Afique subsaharienne et en Asie du Sud. Dans d'autres régions, la majorité des réfugiés vivent dans des logements individuels. Les déplacements forcés sont essentiellement et de plus en plus un phénomène urbain, avec des réfugiés qui rejoignent les villes à la recherche de sécurité, d'anonymat, d'un meilleur accès aux services et à des opportunités d'emplois. Pour en savoir plus, consultez les conclusions du nouveau rapport : Déplacements forcés : une crise des pays en développement.
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