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Retour sur les Assemblées annuelles 2021 du Groupe de la Banque mondiale et du FMI

Au lendemain des Assemblées annuelles 2021 du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI), je vous propose un tour d’horizon des principaux événements auxquels j'ai pris part.
 

Jeudi 30 septembre
 

 

Lundi 11 octobre

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Mardi 12 octobre
 

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Jeudi 14 octobre

  • Assemblées annuelles 2021 : Réunion du Comité monétaire et financier international
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  • Réunion avec le Bretton Woods Committee

 

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Vendredi 15 octobre

 

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Jeudi 21 octobre

  • Assemblées annuelles 2021 : Remédier aux fragilités financières pour une reprise équitable

 

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Les Assemblées annuelles ont été l’occasion de m’entretenir avec un grand nombre de dirigeants, parmi lesquels : le président Ivan Duque (Colombie) ; le secrétaire Rogelio Ramírez de la O (Mexique) ; la secrétaire Janet Yellen et l’envoyé spécial John Kerry (États-Unis) ; le vice-ministre Masato Kanda (Japon) ; le vice-Premier ministre Nam-Ki Hong (République de Corée) ; le ministre Bruno Le Maire (France) ; le ministre Paulo Guedes (Brésil) ; la ministre Sri Mulyani (Indonésie) ; le ministre Lütfi Elvan (Turquie) ; le vice-Premier ministre Alexeï Overtchouk et l’ambassadeur Anatoli Antonov (Russie) ; le président de la Banque asiatique de développement Masatsugu Asakawa ; le PDG de BlackRock Larry Fink ; la ministre Nirmala Sitharaman (Inde) ; la députée Vicky Ford (Royaume-Uni) ; l’envoyé spécial des Nations Unies Mark Carney ; le ministre Luhut Pandjaitan (Indonésie) ; le Premier ministre Patrick Achi (Côte d’Ivoire) ; et le directeur général de l’AIEA Rafael Grossi. J’adresse mes remerciements à toutes celles et ceux qui ont assisté à nos Assemblées.

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Tout au long de ces Assemblées annuelles, j’ai souligné l’urgence des problèmes auxquels nous sommes confrontés.

Il est évident que la pandémie de COVID-19 a entraîné une remise en cause brutale des avancées du développement. Le développement recule sur le front de la pauvreté, du revenu médian, de l’éducation, de la nutrition, de la sécurité et de bien d’autres domaines.

À l'heure où les pays tentent de se relever de la pandémie, l’Association internationale de développement (IDA) joue un rôle crucial pour relancer la croissance et le développement. Une reconstitution ambitieuse et réussie du fonds du Groupe de la Banque mondiale pour les pays les plus pauvres peut considérablement contribuer à de meilleurs résultats dans le monde entier. Et c'est ce que j’appelle de mes vœux à l’approche de la clôture du processus de reconstitution des ressources d’IDA-20 à Tokyo, en décembre.

Si nous voulons éviter de perdre une décennie de développement, nous devons agir maintenant face aux problèmes les plus aigus qui creusent les inégalités dans le monde : la dette, l'accès aux vaccins et le climat. Soit autant de questions capitales qui seront très prochainement à l’ordre du jour du sommet du G20 et de la COP26.

Ce billet a été initialement publié en anglais sur LinkedIn 


Auteurs

David Malpass

Ancien président du Groupe de la Banque mondiale

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